C’est affligeant de voir l’auteur enfoncer des portes ouvertes et croire qu’il a inventé le fil à couper le beurre.
La thèse qui traîne mollement, c’est l’interprétation assez ... ridicule sur la manipulation de ces morts pour faire oublier les autres. Comme si les français passaient leur journée devant la télé ou à lire la presse. Les français bossent, se heurtent à la dure réalité, ont des maladies, sont victimes d’accident de la route, ... enfin tout ce qui fait qu’ils n’ont pas besoin d’hurluberlus pour leur expliquer que la vie est dure.
Et si en plus des salopards assassinent et bien, ils se mobilisent contre ces ignominies. C’est simple.