« J’avoue » (est-un crime ?) que je ne me sens pas mis du tout en danger par le « terrorisme » et que je suis beaucoup plus inquiet, vraiment beaucoup plus, des innombrables mesures liberticides mises en place (et préparées dès avant les fameux attentats) par la clique au pouvoir.

Il est évident que la situation actuelle était prévisible (introduction de 10 ou 15 millions d’Africains, noises cherchées en permanence au monde islamique, guerres d’agression, massacres de civils), tellement prévisible qu’on pourrait penser qu’elle est voulue pour défendre des intérêts qui ne sont certes pas les miens (et dont il n’est pas « conseillé » de parler)

Beaucoup plus que par les attentats, je suis mis en danger au quotidien par la voirie primitive de ce pays (aux dépenses socialo-clientélistes incompressibles) que ce soit en voiture et plus encore à moto et encore plus à vélo (ce n’est pas pour rien que j’essaie d’aller chaque année en Allemagne passer plusieurs semaines à l’abri des Primates motorisés pour qui « perdre » 3 secondes est bien pire que tuer ou estropier un cycliste). Pollution, danger, saleté, mauvaise conception, entretien déficient....et tout ça en étant spolié toujours plus pour gaver les « clients » (au sens romain du terme) qui ouvrent grand le bec sur leur canapé. Pas pour rien que j’ai arrêté très tôt de travailler, lassé d’être racketté au profit...de la diversité devenue « terroriste ».

Quant aux 130 ou 140 morts dans une année, qu’est-ce par rapport à l’assassinat (c’est volontaire et organisé par l’Etat) de 600 foetus viables par JOUR. Et en plus cet assassinat est remboursé par la Sécu. Et dans le même temps on doit dépenser au moins 60 milliards d’euros par an (exemption d’impôts, allocs, ARS, scolarité gratuite sous tous ses aspects, avantages multiples...) pour une politique dite « familiale » (arrosage électoral) et la fabrication d’analphabètes asociaux. Et nul ne voit la contradiction entre soit-disant subventionner à outrance la natalité et, simultanément organiser la suppression d’un bon quart des nouveaux-nés en route (sans parler de la contraception qui les supprime à la base). Alors le « respect de la vie » et les « valeurs » (chères à Jumbo) contre les méchants « lourdement » armés (d’armes légères), je n’accroche pas du tout.

Un état totalitaire, d’obédience internationale (il suffit de les regarder de face et de profil) a besoin de beaucoup de lois et de violence pour imposer la corvée à ses sujets et s’il peut jouer au « protecteur » par un matraquage médiatique forçant la peur dans les cerveaux, ce n’est que mieux pour lui.
S’ils n’arrivent pas à déclencher une guerre générale, nous aurons encore de la chance...