Oui, bon article.
Un occasion tout de même de se réjouir : malgré ses gesticulations à trois millions d’euros, SDNB vit ses dernières heures : les RG ne le créditent que de la 3ème place.
Devant, il y aura Ségo et le Borgne. Bayrou ferait presque jeu égal avec le petit chéri du Parti de la Mort.
Info transmise à l’Elysée en priorité évidemment. Il en y a au moins un de plus que moi qui doit se frotter les mains.
Pour en revenir à l’article, un bémol sur la référence à Rosanvallon ou Pisani. Les essayistes dans le top des réseaux, de l’édition, les multi-cartes introduits partout.
Ca semble être un tropisme de l’auteur ce genre de soupe CFDTestable, mais il est encore temps de passer à une vraie littérature critique et non pas ces faux-nez issus des thinks-tanks du MEDEF.
On trouverait, en effet, meilleur et surtout plus légitime à citer que Rosanvallon, le penseur de l’actuelle « troisième voie », de la réconciliation patron-syndicat, qui a conduit aujourdh’ui Libération à la ruine, les syndicats à la cogestion et à des luttes exsangues, benoitement observées par un patronat qui a phagocyté toutes les organisations et toutes les révoltes.