Il me semble que la problématique n’est pas la même...
Dans un cas, celui que vous évoquez, il s’agit d’élus (par le peuple) à une fonction et qui se doivent d’assurer la continuité de leur mandat jusqu’à son terme.
Dans le second(M. Sarkosi), il s’agit d’un ministre nommé par un gouvernement et dont la charge peut être reprise par un de ses confrères sur simple nommination.
La différence est de taille ! Et les casquettes difficiles à identifier notamment pour les comptes de campagne et les temps de paroles accordés à chaque candidat.
De là à penser qu’il s’agit d’une volonté délibérée de l’intéressé de cumuler son temps de passage à l’antenne et ses frais de déplacement en tant que ministre de l’intérieur et de candidat, seuls les esprits chagrins pourraient en avoir l’idée... Il est évident qu’un homme politique digne de ce nom ne saurait user d’une telle facilité !
SaT