C’est quand même faire fi un peu rapidement de With a little help from my friends, All you need is love, Magical Mistery Tour, Here comes the Sun, Octopus Garden, Something, etc, etc... tous écrits à partir de 67 et qui sont loin de s’inscrire dans cette dynamique ténébreuse.
A se dire que l’auteur aurait pu utiliser un peu tout et n’importe quoi pour accréditer son désenchantement des trente glorieuses.
La preuve on retient pas un seul petit morceau des Beatles pour dépeindre le choc traumatique de la Guerre du Vietnam.
Ou alors à l’extrême les bruits de réacteur en arrière fond de Back in The USSR qui préfigurent la crise pétrolière ? Mais là on touche vraiment le fond du raccrochage de branches