Les nanotechnologies sont effectivement un moyen d’apporter une source extérieure (le soleil ) changant le niveau de l’entropie (permettant de vraies énérgies renouvelables ). Et cela peut rester « propre » notamment pour l’électricité (chauffage, éclairage, force électro-motrice).
C’est préférable au projet ITER dont la faisabilité est douteuse et la rentabilité catastrophique.
Cependant plus nous mettons en oeuvre « l’infiniment petit » moins nous contrôlons les effets pervers (se souvenir du nucléaire et de ses dérivés militaires ), aussi il conviendrait de définir au préalable une charte éthique formelle et intangible.
De plus cette charte est indispensable pour ce qui concerne l’application des nanotechnologies sur l’espèce humaine que ce soit directement ou indirectement (cas de produit ingérés ou de contact).
Il est aussi une condition corollaire, afin de ne pas augmenter la vitesse de délapidation des ressources terrestres (volet matière dans l’hypothèse où le volet énergétique serait résolu), cette condition est d’imposer une décroissance économique ( comprenez bien, messieurs les économistes, une décroissance, c’est au sens littéral une décélération !!)