L’auteure a déjà fait l’énooorme effort d’écouter la musique des « jeunes », ne lui demandez pas en plus de chercher à les comprendre !
Je pensais les éducateurs de rue proches des jeunes. J’apprends ici qu’ils ne connaissent même pas leur musique ! En quoi peuvent-ils avoir une crédibilité auprès de ces jeunes ? Je pense que l’auteure aimerai avoir des jeunes qui, comme elle, écoutent de la musique classique...
L’auteure est aussi en parfait accord avec son mentor pour que ces mêmes éducateurs deviennent des délateurs (nouvelle loi sur la délinquence).
J’adore surtout la solution prônée : « mais foutez les en prison que diable ! » Merci pour eux et pour toute cette tolérance.
Je ne vais pas rentrer dans le débat pour savoir qui de la musique et du quotidien influence qui car l’auteure ne peut admettre que la musique traduise une certaine vision de la société...