« La concurrence et le libéralisme s’opposent aux dogmes et aux totalitarismes ».
C’est relativement vrai (c’est ce qu’espéraient Hayek et Friedman et cela avait du sens sous Hitler et Staline) jusqu’au jour ou la concurrence et le libéralisme (sous sa forme dévoyée en néo-libéralisme) n’aient vaincu les idéologies antérieures et ne soient devenues à leur tour les nouveaux dogmes, la nouvelle idéologie dominante et un nouveau totalitarisme.
Mais pour que Perceval comprenne quelque chose d’aussi simple, il faudrait qu’il sorte de ses dogmes. Et de toute évidence ce n’est pas gagné.