« Si on veut défendre des valeurs, on part perdant. Les valeurs, c’est quelque chose qu’on invente, à partir d’une histoire collective (...) « France », pour moi ca n’a aucun intérêt, je n’ai pas besoin d’un mythe national, qu’est-ce que c’est que la France : une entité juridique, un état (...) je ne suis pas d’accord de défendre les valeurs d’un état français, il n’y a pas de culture française (...) l’identification « France » doit être mise sur le même plan que « masculin, féminin, ou autre », sur le plan sexuel, que l’identification « noir, arabe, ou provençal ou etc. »..(...) l’identification ? »
Beau message de l’anti-France (et revendiquée comme tel), d’un monde sans valeur, sans histoire, ni identité allant vers la création de l’individu interchangeable, indifférencié qui n’a plus, où qu’il vive, pour horizon que la marchandise, digne d’un Attali disant qu’un pays c’est avant tout un hôtel ou d’un Cabanel disant que le cosmopolitisme c’est très bien car ça permet manger de la bouffe de tous les pays (ce qui lui fait dire qu’il est un citoyen du monde), ni plus ni moins que des destructeurs de civilisation, et ils sont fiers d’eux en plus !