Enfin, un peu d’ironie, et pour finir un éloge paradoxal.
Les intellectuel de la fin du moyen-âge et de la renaissance adoraient cet exercice littéraire. Erasme, avec son « Eloge de la folie », mais aussi Rabelais, nous ont laissé d’excellent souvenirs littéraires. Pourquoi, de temps en temps - et pour rire, bien évidemment -, ne pas faire l’éloge de la bombe atomique, de la vérole, de la peste ou du sida ? Tout cela nous éloignerait un peu de la morne plaine du conformisme et de ses idées convenues.
J’ai particulièrement apprécié l’éloge de Christiane Taubira.