Socrate, un super-coach ? Non, un éveilleur de la raison, de la pensée critique...c’est autre chose.
Vous dites :« Le management participatif est une belle théorie qui n’est pas toujours aisée à pratiquer. Dans ce contexte de tension, le coach, non directif, est un régulateur qui amène chaque acteur, à travers son écoute, son questionnement et ses reformulations, à comprendre l’enjeu des scènes qui se jouent dans ces relations de travail. »
Le coaching serait-il ainsi voué à faire mieux accepter son rôle, sa fonction économique et hiérarchique, voire éventuellement le harcélement moral dont on peut être l’objet, bref « à fermer sa g.. ».C’est toute l’ambiguïté de l’école de C.Rogers, attentive seulement au seul individu, conçu comme un atome social...