Très bon article, et thème très révélateur !
En effet, il résume très bien le manque de repère de la société actuelle où l’on redécouvre des valeurs qui ont toujours existées, mais pour les faire revivre il faut leur donner un nom anglo-saxon pour que cela parle à nos contemporains.
Le « coaching » qui n’est rien de plus que la transmission du savoir faire né de l’expèrience de tout un chacun, ainsi que la contribution naturelle en tant qu’être humain à son prochain.
Or ce lien semble t’il, a été tellement brisé dans les sociétés fortement urbanisées qu’il faut le réinventer à une échèle qui parait être la notre aujourd’hui, comme un besoin de réhumaniser ou de réhumanisation.
Bien qu’il a été dit que ce système serait quelque chose d’individualiste, il me semble qu’il y quelques notions de partage et d’équilibre entre des conceptions qui ne sont pas aussi antagonistes que l’on voudrait bien faire croire.
J’ai vu recemment un film tiré d’une histoire vraie qui m’a beaucoup touché « Coach Carter », l’histoire d’un entraineur de basket qui avait imposé que tout ses joueur aient la moyenne en enseingnent général pour faire parti de son équipe.
La politique de ce collège difficile était la réussite par le sport des élèves à problème, quant bien même la probabilité qu’ils deviennent des starts du basket était infîme, je me souvient de la scene suivante où lors d’une confrontation avec la directrice du collège qui lui reprochait de se méler des autres matières qui ne rentrait pas dans ses attributions, il lui répondit ceci :
« Il est tout de même curieux que le prof de sport soit plus socieux des résultats scolaires de ses élèves que la propre directrice, ce qui serait pourtant son rôle le plus élémentaire »
A voir ! Grand moment d’humanisme sans concessions qui nous renvoie à notre modèle de société en France.