On s’est recréé un panthéon. Les candidats représentent chacun d’eux un dieu antique. Le dieu de la terre fut Lassalle (avant lui : Bayrou avec son tracteur), le dieu de l’amour ou Eros est Macron (auparavant Ségolène !), le dieu de la colère est Mélenchon (« je suis le bruit et la fureur »), la déesse de la mer est Marine, cela va de soi.