Bonsoir Clément,
J’avoue que bien qu’intéressant, votre article dénote par rapport à l’actualité, et c’est tant mieux. J’avoue que j’ai du mal à le comprendre et donc je ne peux confirmer ou infirmer vos propos, alors je me permettrai d’ajouter à votre réflexion sur les états de la douleurs chez tous les vivants, ma vision sur sa représentation affective chez l’humain, possiblement aussi en ce qui concerne certains animaux.
Vous devez vous en douter, je vous parlerai de l’empathie. C’est une vertu qui s’explique de nos jours par cette découverte des neurones miroirs, qui non ’contentes’ d’emmagasiner par l’observation, les stimulus moteurs crées par l’autre, emmagasine de la même façon, les mêmes stimulus résultant du regard de la souffrance chez l’autre, et du coup l’on souffre.
Après, philosophiquement certains diront à l’encontre de certains jugements de valeur que, la souffrance au même titre que le courage, ne se mesure pas.
Après tout cela on pourra dire aussi que, beaucoup de nos contemporains en auraient oublié l’existence. Est-ce une histoire d’attention, de souffrance personnelle, de banalisation de la présence d’un autre, surtout quand il est différent ?
Je sais que vous êtes très sensible au racisme, j’ose espérer que vous comprendrez les liens que je développe, ce sont des réflexions que nous allons devoir avoir en ces temps de doutes, afin de ne pas sombrer dans le délire.
Bien à vous.