Il y a deux sortes de journaux : ceux qui vivent de
subventions et d’autres de ragots qu’ils colportent avec délectation. Ils ont
la matière première de leurs articles sans coup férir. En fait ce sont les
rapporteurs des Assemblée nationale, gouvernement et Sénat. Foin des enquêtes,
vérification et présomption d’innocence ils distribuent la bonne parole des dénonciateurs
de tout poil.
Les faits révélés sont analysés à l’aune de références d’un
ex-avocat qui n’était pas tourmenté lorsqu’il percevait des honoraires pour
conseiller son client. Aujourd’hui des doutes l’assaillent mais pas le Code de déontologie
professionnelle. Maintenant il mord la main qui l’a nourri dans un sursaut vertueux
pour hurler avec les loups.
Les analystes financiers qui se sont emparés des
investissements et amortissements de la mutuelle devrait prendre langue avec celle-ci
pour la conseiller. A les lire leurs gestionnaires sont des incompétents. Ils se
sont laissé berner en louant un local alors qu’en triplant leur investissement ils
auraient pu l’acquérir. S’il est si facile d’acheter au lieu de louer pourquoi y
a-t-il tant d’HLM et de locaux commerciaux en location ?