« La future alternative n’est pas encore apparue .. » écrit l’auteur.
Je trouve au contraire que les choses se clarifient :
- L’UMP est dans les choux.
- Le FN est éclaté en 3 ou 4 morceaux : Marine- Philippot - Papy - Marion.
- Et le PS est une espèce en voie d’extinction....
Une situation politique à la grecque d’avant Syriza.
Reste Mélenchon, la roue de secours, qui soutient les revendications sociales, mais sans dire d’où elles viennent. Comme d’habitude,
dans les manifs, la grande absente, c’est l’ Union européenne. Et Macron + les médias presstitués qui ont adoubé
Mélenchon comme « Opposant officiel ».
Au fond, rien ne distingue Macron de Mélenchon, ce sont deux européistes qui n’ont qu’une obsession :
« Sauver l’ Europe ! »
Mais les réformes de Bruxelles provoquant de violents mécontentements, il urge d’envoyer les mécontents dans l’impasse « d’Une Autre Europe à la St Glinglin ».
Mélenchon est spécialiste du genre, comme Tsipras. Le plan B, c’est un super programme, (
comme le Programme de Thessalonique de Syriza), que Mélenchon veut appliquer à la place des Traités européens, s’il n’arrive pas à imposer une Europe sociale.
Comme renégocier les Traités peut prendre 20 ans, et nécessite l’accord unanime des 27 pays, en attendant, nous finirons comme les Grecs...