La deuxième courbe est intéressante.
Elle montre que le cancer du col avait diminué de 30% depuis 25 ans quand le vaccin a été introduit, et que dans les années suivantes la maladie s’est montré stable.
Non seulement il n’y a pas de bénéfice, mais on perd cette notion bien connue que les maladies ont une tendance spontanée à la disparition, et que l’introduction d’un vaccin a plutôt tendance à casser la courbe descendante, comme on l’a bien observé avec la polio où il y avait même eu un effet rebond après les vaccinations de masse.
Le document qui suit montre qu’en fait le vaccin gardasil (comme le cervarix) est parfaitement expérimental de l’aveu de ses fabricants, et que donc les centaines de milliers de jeunes filles qui l’ont subi ne sont rien d’autres que des cobayes, qui n’ont aucune certitude d’efficacité, pas plus que d’innocuité à long, moyen ou court terme.
Pour une maladie a si faible incidence, et parfaitement dépistable et traitable, le pari, tellement coûteux et tellement risqué, ressemble fortement à une escroquerie.