Le texte d’Alinéa, C’est du beau travail, mais ce n’est pas correcte.
Il n’y a pas vraiment de coupable parmi le peuple, ceux du dessous qui ne peuvent plus travailler, reçoivent de quoi boire, ce droguer, et de quoi acheter une télé, un smartphone et un canapé pour s’y vautrer, ils ne sont plus capable de penser à la complexité du monde.
La classe moyenne écoute les infos vers 7 ou 6 heures du matin et partent travailler et quand ils rentrent chez eux, il n’y a que les infos du vingt heure. Peut-être suivi d’un petit film et dodo. Ils n’ont pas le temps de penser et souvent son lessivés par le stress toujours croissant du labeur.
Qui reste t-il, les érudits apparemment, ceux qui ont reçu l’éloge d’écrire sans faute et de pouvoir construire de belles phrases, pourtant ce sont-eux qui passent leur temps à mettre de l’huile sur le feu, à se gargariser de leurs belles lettres, à jouer a être d’une autre classe, hors concours sans doute, qui rêvent de politique, et d’étalage de ce qu’ils on apprit, mais rarement exposent des idées car ils n’en ont pas et sans n’en ont jamais eu.
Ils citent l’un ou l’autre illustre personnage, comme s’ils pouvaient s’imbiber de cette splendeur qui n’est pas la leur.
Ce qui leur manque le plus c’est l’humilité et l’altruisme, car alors ils pourraient peut-être apporter quelque chose au Monde, car oui, ils ont les outils ad-hoc, comme on dit, mais ces gens là n’existes plus, avalé par l’orgueil de leur égo, ils sont comme ces artistes peintres qui aujourd’hui font des tâches et disent que c’est de l’art, ou encore ces musiciens qui font du vacarme et disent que c’est de l’art.
Il y a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond.
Même ces gens qui arrivent en Europe pour se sauver de la guerre ou de la famine, lorsqu’ils posent le pied en Europe, ils sont comme contaminés par cette maladie, qui rend les gens destructeurs de tout, une maladie qui rend les gens fous.
Attention ! Nous sommes fous et c’est contagieux.
Voilà ce qu’il faudrait placarder à tous les points d’accès de l’Europe.