Après le coup de la « chevénementisation » de F. Bayrou, voici venu le temps - et, surtout, l’argument - de la « fragilité » de son électorat potentiel. Pourquoi pas ?! Juste une information : les résultats « bruts » des sondages, selon des sources bien informées, donnent Bayrou entre 26 et 30 % d’intentions de vote, largement devant la Royal et le Sarko ; comme cela paraît « incroyable » aux instituts, ils corrigent sévèrement à la baisse le candidat centriste. Au vrai, la « surprise » du 22 avril pourrait bien être un second tour « Bayrou-Le Pen »...