Ayant fait mes études dans un lycée de filles. Les mêmes différences se constatent. Le dominantes et les dominées. Les gnan-gnans premières de classe et les réfractaires. Les preneuses de décisions et leaders dans les jeux et celles qui suivent. Idem, dans les écoles de garçons. Le facteurs gènes « Y » joue certainement et les femmes savent qu’elles sont inférieures sur le plan physiques et doivent dons user d’autres tactiques. Hélas, souvent ,celle des victimes : la culpabilisation, les : on se calme, le côté « étouffoir », qui hélas augmente la composant « y » du gène chez les hommes (violences conjugales). Je ne crois pas du tout au terme « empathie ». Personne ne peut se mettre dans la tête d’autrui. Mais plutôt à une forme de « bienpensance » insidieusement castatrice. Si les femmes étaient moins « soumises », les hommes seraient bien moins violent. Les psychologies ont constaté que les psychopathes avaient le même profil familial. Une mère soumise et complice du fils « CONTRE » le père, qui alors ne peut représenter la LOI. Toi, plus tard, tu me vengeras, hein !? Mère d’HITLER,... qui avait une mère soumise et un père violent.