Malheureusement bien que cela soit nécessaire dans le monde ou nous vivons et au stade de notre évolution ; les lois, régles qui tendent à codifier, lisser les rapports humains en société, réprimer les stigmatisations diverses, n’empêcheront pas les hommes de se détester... d’user de violence (verbales ou autres), les uns envers les autres... de se jeter des reproches à la figure.
Devrait nous questionner ce paradoxe qui se revêle flagrant lors de l’agression verbale envers notre philosophe, soit : un homme traitant un autre de haineux, la narine frémissante de colère, allant jusqu’à le menacer des flammes d’un enfer-torture (à « peau renouvelable » pour l’éternité en l’occurence) pour faire bonne mesure au cas ou on n’aurait pas compris que le coléreux était dans le camp du « bien »., de l’amour ?.. de ce qui est juste.
dans un contexte ou l’on saccage tombes, livres et batiments religieux divers bref dans un climat délétère sur fond de difficultés économiques, soit propice à la désignation de populations boucs émissaires... Comment ne pas s’inquiéter ?
Sommes nous condamnés à reproduire/subir ad vitam aeternam par cycles, les erreurs et les horreurs du passé ?
Je crois bien pour ma part tant que nous ne prendrons pas conscience qu’il nous faut pour en finir un jour avec la violence, la terreur, la cruauté gratuite qui nécessite que l’on déshumanise l’autre pour s’en absoudre (ce qui en dit long sur au moins l’étincelle de prise de conscience de notre similitude) ;
Tant que nous ne prendrons pas conscience, qu’il nous faut disais je, pour réaliser une vraie paix autre que de papier, fragile par essence, transcender la dualité de notre mental, je crois malheureusement qu’il en sera ainsi..
Les murs, les lois, les armes n’y changeront rien. Les bonnes volontés si.