Je ne suis pas tous les jours sur Agoravox, je suis actuellement en tournage d’un documentaire qui me fait voyager. Ce qui explique mon silence relatif. Je ne vais pas répondre point par point à toutes les questions sur le sujet Clearstream, les comptes, la mécanique interne... C’est beaucoup plus simple de lire les livres (la boite noire, surtout) ou de visionner le dvd pour ceux qui cherchent vraiment à creuser ces questions... C’est un peu facile de se dire journaliste-citoyen et à ce titre d’invectiver un auteur. Lisez d’abord, informez vous, puis revenez avec des questions précises et fondées. Il arrive quand on fait le « métier » que je fais de tomber sur des paranoïaques, des malades, des fous de justices, des énervés du bulbe, des types qui ont souvent raison au début mais qui ensuite s’inventent un monde et deviennent parfois odieux, harceleur, menteur, menaçant, qui appellent chez vous dix fois par jour, s’en prennent à vos proches, vous pourrissent la vie... Porter plainte contre eux est inutile et coûteux. Entrer dans un débat avec eux stérile et inutile. L’expérience m’a appris que le mieux est de les ignorer... C’est ce que je m’efforce de faire, mais je comprends aussi la réaction de l’internaute agoravoxien qui insiste sur le dialogue entre nous. D’où cette réponse qui sans doute sera insatisfaisante pour certains... J’avais également demander au modérateur de mieux modérer. La vérité de tout cela est dans mes livres ou dans ce que j’écris ici ou là... Je ne veux pas perdre mon temps ni user mon cerveau à tant de boue et de conneries, je pense à ce que j’ai lu plus haut. Et ailleurs, voir les livres qui sortent. Je le répète, ceux qui doutent, se posent des questions sur mon rôle dans l’affaire du corbeau et des listings truqués n’ont qu’à se rapporter à « Clearstream, l’enquête » où sont développés largement mes rapports avec les uns et les autres. Je n’ai jamais été motivé par l’argent, n’ai jamais dénoncé personne à un juge ou dans mes livres, ai toujours été animé par le souci d’informer, suis harcelé par les procès et les pressions. Devoir l’écrire à nouveau ici est comme une souffrance. Bien à vous. DR