Les premiers listings, ceux remis par l’informaticien de chez Arthur Andersen et qui ont servi de base à la Boîte noire et au film « l’affaire Clearstream... » ne sont ni faux, ni réputés faux. Jamais personne, même pas Clearstream, ne les a remis en cause. Ils sont très intéressants car ils montrent, entre autres, l’ouverture de milliers de comptes chez Clearstream dans des dizaines de paradis fiscaux. La presse ne s’y est effectivement pas trop intéressé. Pourquoi ? Demandez leur. La falsification a eu lieu ensuite. Tout cela est dans la presse, dans les livres...