Ça ne prouve en rien que le glyphosate est responsable des troubles de cette personne contrairement a ce que les ecolo-fascistes essayent de faire dire.
C’est pas un procès basé sur le glyphosate, mais une action sur le « principe de précaution ».
C’est juste la démonstration de la stupidité dite du « principe de précaution » qui maintenant qu’il a été introduit en justice va transformer la France en pays du moyen age.
Quand un juge se prononce sur le principe de précaution et le droit à mettre en vente des produits dangereux au risques et périls de ceux qui l’utilisent, c’est un procès soviétique.
Demain avec ce genre de procès, les fabricants d’allumettes seront condamnés. La France est mal partie.