L’eucalyptus est un arbre pyromane ; il profite de chaque incendie pour supplanter les autres espèces végétales. Si l’eucalyptus règne sur l’Australie, c’est la preuve que des incendies de forêts, il y en a eu beaucoup au cours des dizaines voire centaines de milliers d’années précédentes.
L’écologie végétale est une science beaucoup trop sérieuse pour qu’on abandonne cela aux militants escrologistes.
L’oscillation dipôlaire de l’Océan Indien n’a été décrite qu’en 1999. D’une manière générale, les oscillations océaniques s’étalent sur des durées qui sont inamicales envers la gestion de carrière d’un chercheur, et incompréhensibles au politicien qui garde les yeux rivés sur sa réélection. Là, la sécheresse dramatique sur l’Australie est due à la conjonction de deux oscillations océaniques : l’indienne dite positive, avec les eaux chaudes à l’ouest, tandis que l’est dont la mer de Timor est froid, et n’évapore plus assez, tandis que le Pacifique côté Australie est lui aussi en période froide. A l’échelle climatique, ce genre d’extrême est resté fréquent, mais l’échelle climatique est fort loin de l’échelle de la mémoire humaine. Les climats de l’Australie et leurs oscillations sauvages, ça n’est pas pour les poules mouillées.
Dans quarante ans, la climatologie pourra probablement devenir une vraie science. Quand on en saura bien davantage qu’à présent, et surtout quand les militants climastrologues actuellement régnants seront morts. Quand la totalité du grand public aura rigolé de leurs fraudes actuellement régnantes, et de leur prétendu bouton de réglage du climat.
La gestion des forêts exige de tenir compte des risques, notamment prévoir de larges tranchées coupe-feu, des routes bien dégagées pour les pompiers, des tranchées coupe feu bien entretenues sous les lignes électriques, voire d’amples réservoirs d’eau prêts pour les pompiers. Mais les militants escrologistes ont interdit tous ces moyens indispensables, au nom du respect dû à la déesse Gaïa...
Il est criminel de leur avoir obéi.