Pour ma part, je continue à penser que le débat ne se situe pas sur la véracité ou pas d’une démarche scientifique validant ou infirmant le caractère « inné » dans un comportement déviant,
mais de savoir comment le CANDIDAT Sarkozy arrive à juxtaposer DEUX points de vue complétement DIFFERENTS dans son analyse de la sociéte :
1°) Le déterminisme « probable » génétique : c’est le sujet ici
2°) La responsabilisation des actes et des choix : fin de l’assistanat.
N’y a-t-il pas une contradiction flagrante ?