Le monopole de l’argent-dette est voulu, il sert bel et bien de situation de rente (40-45 milliards par an).
Nous vivons dans une « république » où celui qui créé la valeur est celui qui imprime la monnaie et en perçoit l’intérêt, alors que nous devrions être d’accord sur le fait que celui qui créé une valeur monétisable est bel et bien celui qui travaille.
Lors de la crise de 2008, étant donné la montée des taux d’intérêts, le déficit coûtait 60-65 milliards par an.
La baisse des taux depuis par la BCE a permis de revoir cela à la baisse.
Comment cela va être négocié maintenant ? Excellente question.