Faire du neuf avec
du vieux, c’est comme mettre du papier peint sur un mur moisi pour
cacher la misère.
Le pays frôle déjà
les 10 % de chômeurs et ce n’est que le début.
Les planches à
billets mondiales ne pourront pas tenir longtemps cette cadence pour
maintenir sous perfusion les crèves la faim. Cet argent injecté
dans des entreprises inactives depuis 2 mois et sorti tout droit des
rotatives des presses à billets n’a aucune valeur, c’est un
vulgaire bout de papier Q juste bon à se torcher les fesses.
D’ailleurs, les
épargnants commencent à se rabattre sur l’or qui est redevenu la
valeur étalon avant que leurs éconocroques ne deviennent totalement
irrécupérables faute de devises dans les coffres bancaires qui sont
alimentés par l’activité commerciale, industrielle, alimentaire,
qui permettait de faire tourner la roue de la fortune de la
consommation. Sans activité plus de pognon de dingue.
Non, plus rien ne
sera comme avant. La consommation à outrance ne sera plus
d’actualité et la vie à crédit n’aura plus pignon sur
rue. Le matérialisme se réduira aux produits de 1ère nécessité
manger, boire, s’habiller, se loger.
L’insurrection
mondialisée qui vient, est et sera, la conséquence de la faim dans le monde. Aucun pays ne sera épargné par cette famine qui a déjà commencé.
N’oublions jamais qu’un peuple affamé,
devient un peuple enragé… Sans foi ni loi.