Le traçage sanitaire n’est que l’amorce du contrôle systématique : quand le repérage sera accepté et banalisé, il deviendra « crédit social » avec notation des citoyens pour isoler les individus inadaptés au système, comme en Chine.
La généralisation des caméras de surveillance et des réseaux sociaux permettra la pratique de la reconnaissance faciale. Les cibles ne sont pas les délinquants mais les contestataires (ce qui, pour le régime, est synonymes, de toutes façons).