@ETTORE
En effet, on devrait moins se choquer que l’Allemagne défende avec intransigeance, sur cette question monétaire (car sur l’immigration comme tant d’autres elle se suicide), ses intérêts, que la France, l’Italie, la Grèce etc... s’évertuent à ne défendre les leurs !
Leurs médiocres dirigeants sont coupables de traitrise, d’inaction, d’incompétence, ou de lâcheté ? Diantre, ils ont été élus par d’aussi médiocres peuples qui par conséquent méritent ce qui leur arrive.
Ah si les connards de Français avaient élu en son temps cet illustre patriote et homme d’Etat... !
« Sous le prétexte d’établir une monnaie européenne unique et une unité politique, on veut, sans le dire expressément au peuple, engager de façon irréversible un processus de mise en place d’une Europe fédérale sous l’autorité de la Commission bureaucratique de Bruxelles. (…) Il s’agit là d’une véritable conspiration contre les peuples et les nations d’Europe, et d’abord contre le peuple français et la France. Pour remettre celle-ci et son destin à des banquiers apatrides, on arrache à notre pays des pans entiers de souveraineté, et j’insiste - François Mitterrand l’a avoué lui-même - d’une manière irréversible. » - Jean-Marie Le Pen, discours au Palais-Royal, 1 Mai 1992.
« Réunis en ce haut-lieu sacré de la patrie, symbole de sa fondation, de son enracinement, et de sa pérennité, nous jurons de défendre les libertés des citoyens, nous jurons de défendre l’intégrité de notre territoire, nous jurons de défendre la souveraineté nationale de notre patrie, et d’exiger, pour ceux qui auront trahi, le jugement et le châtiment de leurs actes. » - Jean-Marie Le Pen, « serment de Reims », 6 Septembre 1992.