Et que dire de son transport dans un camion brinquebalant, l’arrivée ponctuée de coups de bâton sur le dos, la nuit entière passée à sentir l’odeur du sang et de la mort, la pendaison par les pattes arrière, et enfin la lame du couteau qui s’enfonce dans sa gorge, le sang gicle, il se débat et meure, ou presque, juste après la troçonneuse qui le coupe en deux..... Où est la barbarie ??