En toute logique, s’il n’y a — comme le professent les religions du Livre et plus largement tout monothéisme — qu’un seul Dieu, il ne peut être par définition que le Même.
Quant à la justesse des innombrables manières de l’adorer, révérer et servir, je ne peux que m’en remettre aux impénétrables desseins de sa Providence.