La Loi française a abandonné toute poursuite pénale contre les personnes refusant une vaccination obligatoire. Les médecins sont dans l’obligation de respecter le code de santé publique, faute de s’exposer à des sanctions pénales et disciplinaires. Si le code de santé publique indique qu’une vaccination est obligatoire, ils sont dans l’obligation de la proposer, sauf si une contre-indication médicale justifiée les en dispense.
Un particulier refusant une vaccination obligatoire peut encourir des poursuites pénales si suite à son refus il met en danger (concrètement, pas en théorie) la santé ou la vie d’un tiers (son enfant, un citoyen lambda).
Ne pas oublier que le salariat par ex est une forme moderne d’esclavage autorisant de fait un employeur à agir par tous les moyens de contraintes disponibles contre un salarié qui le mettrait dans la situation d’avoir des ennuis pénaux en cas de contamination d’un tiers par un de ses salariés ayant refusé une vaccination obligatoire.
Donc, gardons nous de tout jugement hâtif sur ce qui se passerait en cas de vaccination rendue obligatoire. Seul un rejet massif des citoyens pourrait l’empêcher, les politiques étant ce qu’ils sont.
Vu la façon dont l’obligation de port de masque dans les espaces publics (y compris en extérieur) est passée comme une lettre à la poste (facile de décapiter les quelques réfractaires), on a des soucis à se faire. Plus le refus sera minoritaire plus violemment il sera réprimé.
Après le laisser passer pour sortir de chez soi sans masque, l’assignation à domicile au faciès (« utilité sociale ») ; puis l’obligation de fait du port du voile, on peut s’attendre à un acte trois assez volontaire concernant ce nouveau vaccin.
La mise en oeuvre de tous les moyens pour empêcher la mise en place d’une immunité de groupe chez les catégories très peu susceptibles de souffrir d’un contact avec ce nouveau virus, la course accélérée à un vaccin « torché » précommandé en masse sont autant d’indices pointant dans une direction privilégiée. A suivre.