Le féminisme, comme toute tentative d’émancipation, est récupéré et transformé en outil d’asservissement. Le capitalisme fait feu de tout bois quand il s’agit d’étendre l’exploitation de son bétail. La méthode est très simple : ignorez les gens sincères, sur-médiatisez vos créatures, qui distilleront le poison dans un discours apparemment sucré. Exemple : « Mon corps m’appartient », un discours d’émancipation ? Non, instaurer un rapport de propriété au corps... Qui peut donc être cédé, échangé, aliéné...