@ l’auteur,
L’auteur se pare dans son descriptif d’attributs « prestigieux » (docteur, économiste etc) sans doute pour impressionner le chaland, néanmoins il fonde l’ensemble de sa démonstration visant à mettre en évidence un critère de gravité sur un indicateur — le nombre de contaminations — et effectuer une comparaison hasardeuse entre le début de la pandémie et son état actuel, alors qu’il ne peut ignorer (et s’il l’ignore c’est encore plus grave) que la plupart des pays occidentaux, et singulièrement la France, ne disposaient que de très peu de test Covid les premiers mois, en particulier au moment paroxystique de la première vague !
Donc sa comparaison est au mieux fallacieuse, et partant son analyse à tel point foireuse et manquant du minimum de sérieux méthodologique requis qu’on s’interroge sur sa raison d’être.