Finkielkraut a dit une connerie, ce n’est ni la première, ni la dernière, après s’en saisir pour condamner l’entièreté de ses positions tient à instrumentaliser cette inadmissible mansuétude.
On peut effectivement s’interroger sur cette posture. Est-elle simplement un soutien de classe, entre intellectuels ? Où alors simplement se faire pardonner un silence qu’il n’aurait brisé alors qu’il savait ? ...
Les hypothèses sont tellement diverses ! Je n’ose même pas penser qu’il puisse croire à ce qu’il dit. D’ailleurs depuis il se rétracte, commente, il essaie comme l’auteur de faire dire aux mots autre chose. que ce qu’ils disent. Tout de même étonnant de la part d’un académicien qui connait plus que tout autre le poids des mots.