Bonsoir Marcel,
je viens apporter mon approbation à votre remarque pleine de bon sens de quelqu’un qui connaît « un peu » le domaine...
Et surtout comme supporteur, car l’animosité aveugle (ont-ils lu ? compris ? votre article) règne (enfin ce ne sont que quelques personnages) sur ce site.
PS1 : peut-être qu’au niveau international, il pourrait être demandé qu’un réfugié politique potentiel puisse traverser la frontière de son pays pour aller jusqu’à l’ambassade de France s’il est vraiment en danger dans son pays sans pouvoir s’y cacher en attendant la réponse de l’ambassade. Un autre genre de problème se pose si, par exemple, on assiste à un afflux genre Hong-Kong, place Tian’anmen (si) ou Rwanda. Pour des cas comme la Syrie, le désordre dans le pays et sa durée a du « faciliter » la migration des gens qui en avaient les moyens.
PS2 : une mesure parallèle serait d’aider à l’éducation et au développement du minimum vital des pays miséreux, mais j’ai conscience que ça irait à l’encontre des intérêts des potentats locaux et de leurs clans. Soit en les ridiculisant, soit en allant carrément contre leurs intérêts de domination sur un peuple dans l’impossibilité de se prendre en charge.