Même dans le cas de gouvernements attachés à l’intérêt supérieur de leur nation, il y a d’une part la « course à la baisse » des taux d’imposition dans les pays signataires de l’accord, pour accueillir les sièges des entreprises (et la crainte des délocalisations), et d’autre part le fait qu’il restera de toute façon des pays qui refuseront l’accord pour rester des paradis fiscaux.