Je ne sais pas de quoi périra l’humanité. Cela me parait être un faux problème pour intello dépressif.
Pour ma part, je sais (certitude absolue) que JE périrais dans très peu d’années de maladie, d’accident ou simplement de vieillesse. Je consacre mes efforts à construire chaque jour mon bonheur d’être. Il se trouve que ce bonheur n’est possible que s’il est partagé par ceux qui m’entourent, cela fonde ma responsabilité morale à l’égard de l’Autre.
La futurologie ne fait pas parti de mon mode de fonctionnement.