Qu’attendre d’autre de la part du président de la « start-up nation », « young leader » promotion
2012 ?
Il
a bien dit en 2017 : « La démocratie est le système le plus
bottom up de la terre », une expression qu’il avait apprise chez
Rothschild où « bottom up » signifie « du bas vers le haut ».
Or,
si le mot « bottom » peut se traduire par « bas », il
désigne aussi les dessous et le postérieur, et « bottoms up ! »
(« fesses en l’air ») est le cri de guerre des buveurs britanniques
au moment de lever le coude, comme nous on dit « cul sec ».
Il
avait aussi annoncé la création d’une « task-force anti-Daech »
et vanté les « civic tech, greentech, cleantech », la « silver
économie et le crowdfunding », en proclamant : « entrepreneur
is the new France » et « France is back ! »
Dans
son cénacle, on ne dit pas « bénévoles » mais « helpers », ni
travail d’équipe mais « team building ». Et l’on « brainstorme »
volontiers sur le « draft » du « speech » préparé en «
coworking » malgré des cabinets « sous-staffés ».
C’est
ça, le formatage HEC/ENA.