Si, comme l’a dit Bouvard, “La
démocratie, c’est la moitié des cons plus un” (ceux qui ont voté
« pour »), alors l’Élysée et ses médias ont raison :
c’est bien contre cette imposture que se battent les « opposants »
(dont certains ont fait l’errur de voter « pour » il n’y a
pas si longtemps).
Mais en plus, si le président a bien
été élu par une "majorité (de votants exprimés), il ne
dispose même pas de la moitié des voix ^lus une à l’assemblée.