« Le patron d’OceanGate avait justifié que l’absence de réglementation permettait l’innovation et le progrès technique, ce qui n’est pas faux et est également un sujet de débat ultérieur. »
Ce genre de fadais est un poncif libertarien qui, d’habitude, ne fait pas trop de dégâts, mais se révèle catastrophique dans ces circonstances.
Pourquoi écrire « ce qui n’est pas faux », alors que l’évidence regrettable démontre le contraire ? On aurait d’ailleurs préféré pouvoir se passer de ce genre démonstration par l’absurde.