A l’ère de l’info électronique non censurée ni même visée par les merdias occidentaux, vu la multiplication des sites même en Afrique, le patriote africain lambda ayant le temps et les moyens de s’informer, se pose des questions et les faits lui donnent les réponses :
Qui a détruit la Jamahiriya libyenne, assassiné son leader historique et transformé la Libye en nid permanent de ̶f̶r̶e̶l̶o̶n̶s̶ nazislamistes infectant l’Afrique du nord, voire centrale ?
Ceux la même les ayant soutenu en Algérie durant la décennie 90, en, dans le meilleurs des cas, renvoyant dos à dos barbus égorgeurs et APN, quand ils ne leur offraient pas refuge et audience dans leurs dits merdias, ce qu’ils font encore de nos jours d’ailleurs !
Ceux là même les ayant soutenu officiellement en Tchétchénie et, plus tard, en Syrie, allant jusqu’à prétendre qu’ils y faisaient du bon boulot !!
Qui est venu ensuite en Afrique sahélienne, appelé à l’aide par ses fantoches, jouer au pompier pyromane et qui, même au bout de presqu’une décennie de coûteuse présence militaire, non seulement ne les élimine pas, mais entraine leur multiplication et ̶l̶a̶ ̶p̶é̶r̶e̶n̶n̶i̶s̶a̶t̶i̶o̶n̶ l’amplification du danger qu’ils représentent ?
Ceux la même exploitant à très bon marché et quasi manu militari, les ressources énergétiques et autres richesses des pays concernés, tous d’anciennes colonies formellement indépendantes, mais fondamentalement non souveraines et toujours aussi miséreuses !
Mais aussi qui a observé l’efficacité de l’aide militaire russe à la Syrie, mesuré les retombées économiques et concrètes de la coopération chinoise en Afrique, notamment en Algérie ?
On ne continue pas de traiter irrespectueusement, par pur suprémacisme atavique, les peuples africains, sans en payer les conséquences tôt ou tard, le prix étant tout logiquement à hauteur de la malfaisance infligée.
Voici donc, après l’époque des décolonisations, venue celle de la dé-néocolonisation, alors adieu « françafric » ! On verra bien qui avait vraiment besoin de l’autre et qui enrichissait l’autre. . .