Sous la présidence de Nayid Bukele, le Salvador aussi en proie à une guerre des gangs a vu le taux d’homicide passer de 87 pour 100 000 habitants à moins de 3 en 4 ans.
La population carcérale est passée de 40 000 a 100 000 en un an. Les ONG hurlent au loup, mais la population applaudit et le réélit.