Quand on perd le chemin de la spiritualité, bien sûr pas celle du prêchi-prêcha, mais celle qui suscite les bonnes questions plutôt que des réponses niaises ou illusoires, on ne le retrouve que par la souffrance.
La bonne nouvelle ou la mauvaise pour les désenchantés est que l’égarement conduit inéluctablement à la souffrance ce qui fait de la spiritualité une condition nécessaire de la vie humaine.