Le seul point qui mérite, à mes yeux presbytes, de penser.
Comment se fait il qu’on découvre sans cesse des vérités mathématiques, à l’intérieur du domaine et sans aucune référence à une réalité observable, et que ces mathématiques s’appliquent, jusqu’à maintenant, à élucider, encore et encore, une partie des interdépendances de l’univers ?
C’est tout de même étrange.