Un humoriste avait dit que Chirac
croyait avoir dissous l’Assemblée nationale, mais qu’il avait dissous
la droite. Pareillement, Macron a dissous son parti et semé d’abondance
des graines de députés fascistes.
Le Nouveau Front Populaire est un agrégat où les partisans du
programme l’Avenir En Commun vont devoir voter pour des traîtres
(François Hollande…), des ennemis (Elisabeth Borne...) et pour des
putschistes de LFI à qui la dissolution inopinée de l’Assemblée
Nationale n’a pas laissé le temps de dérouler leur conspiration jusqu’au
bout (1) : débauchage (déjà commencé) dans l’ombre des élus et
militants de LFI, mise en minorité « du vieux » à qui ils doivent tout,
confiscation des fichiers et de la caisse, mise en avant de leur
candidat pour 2027 (probablement François Ruffin, que les médias ne
détestent pas). Le tout mijoté dans des dîners secrets où une camarilla
(avec des PCF, EELV, PS) complotait sous l’aile d’un multi-millionnaire
(Olivier Legrain, prêt à dégainer les biftons).
Les ingrédients politiciens étaient au rendez-vous de la
désagrégation : ingratitude, égoïsme, orgueil, dureté, ruse, ambition et
duplicité (2). En face, un monolithe dur comme le coeur d’un Waffen SS
(3).
Théophraste R. Auteur de l’ouvrage (inachevé ) : « Comprendre Judas et Machiavel ».