Certaines élites aux abois et d’autres à l’affut comme il se
doit.
(Déjà posté, juste adapté aux procédés de l’auteur
qu’il serait dommage de ne pas remarquer.)
Que voilà une belle rhétorique et iconographie, en abandon
de toute rationalité et faux-semblants républicains servant d’ordinaire mieux qu’à sauver les
apparences, à tenter de s’imposer comme référence indépassable privée on dirait
bien de la conscience du ridicule. Ici comme une fébrilité à la recherche
d’exorcismes censés protéger de l’inquiétude d’un départ parodique à la
Sigmaringen. Rassurons ces inquiets, à défaut de Sigmaringen, notre monde ne
manque pas de bonnes places ou terroirs fiscalement accueillant et
compréhensifs. Même l’idée d’une sortie
honorable leur semble pourtant étrangère. D’autres se réjouissent, le
départ du concurrent pour la gestion du système, précipité ou à terme, leur
ouvre la place toute chaude que leur promettent nos oligarques des médias et
instituts d’opinion qui ont de la suite dans les idées sans pourtant bien nous
connaître comme ils viennent de le montrer avec leur fameux 27 sur 27, énième
preuve de la collusion de ce petit monde. Un certain type de dégringolade
continue qui précède le redressement.