@L’auteur
Il y a quand même eu une évolution dans l’opinion publique.
Aujourd’hui on conteste, à juste titre, le fait que la femme de président, ses tenues, ses actions soient à la charge du contribuable.
A l’époque de Mitterrand, loger, blanchir sa maitresse et sa fille cachée au frais de la princesse, personne n’y trouvait rien à redire.