@ JPCiron
Toujours intéressant.
« ..Ce sont par exemple la fin des sacrifices d’enfants ’’passés par le feu’’
C’est sacrifices antiques étaient pratiqués par les hébreux d’après des archéologues qui ont découvert des urnes qui auraient recueilli les restes des sacrifices d’enfants. Il s’agissait d’offrir en sacrifice à la divinité l’aîné d’une famille. Comme Abraham dans la Thora (Gn22)
»Prends ton fils unique que tu aimes, Isaac, va au pays de Moriah, et là, tu l’offriras en sacrifice sur la montagne que je t’indiquerai. Abraham se lève de bon matin, selle son âne, et prend avec lui deux de ses serviteurs et son fils Isaac. Il fend les bûches pour l’holocauste et se met en route."
Cette offrande sacrificielle par le feu porte donc le nom d’holocauste, elle était pratiquée lorsque la communauté était en grave danger, comme lorsque la ville était assiégée.
Accusé au Moyen-Age de brûleurs d’enfants, les juifs niaient cet héritage comme aujourd’hui Jonathan Yahoun et Judith Cohen-Sol, avec leur Histoire de l’antisémitisme (*).
Usant du drame de la shoah, les juifs ont changé le sens de l’holocauste qui tâche leur histoire, en motif de victimisation. Ce sacrifice honteux des hébreux, devenant le nom du drame subi. De coupable le sens du mot devient victime. Effacer les traces honteuses de leur histoire n’est pas une nouveauté, la repentance n’est pas un trait du judaïsme.
Wikipedia n’est pas fiable sur ce point pour ce motif.
(*) https://onenpensequoi.over-blog.com/2022/06/une-histoire-de-l-antisemitisme-engagee.html